Eugène Ouiski croit en son destin. Un destin de chanteur sinon rien. Intrépide de nature, il décide de recycler ses matériels variés pour créer son grand « Show » par ses propres moyens, et de s’adjoindre une jeune concertiste ambitieuse et dévouée, Mademoiselle Lorella Di Garabiolo.
Assailli de catastrophes qui trahissent l’évidence qu’il n’est pas celui qu’il rêvait d’être, Eugène s’acharne pourtant au rebond…
Charlie Chaplin n’a-t-il pas dit que l’obstination est le chemin de la réussite ?
Avec la complicité de Lorella naitra la découverte de son véritable talent, celui de faire rire et frissonner.
De son côté Lorella, d’une hypothétique origine italienne anonyme, se sent l’héritière cachée de Rossini et s’efforce d’être à la hauteur. Oui mais laquelle ?
Pour aboutir à la récolte fructueuse de soi-même sans doute faut-il du temps, et ne jamais abandonner la quête du retournement fabuleux.
Charlie Chaplin n’a-t-il pas dit que c’est dans le travail que l’on retrouve le sens de l’orientation ? Et que Tout le reste n’est que chimères…