Une envie de se renouveler. D’écrire avec Mohamed Guellati.
Évoquer la libération de la parole. Voguer dans nos confessions intimes, nos tabous. La violence familiale, la schizophrénie d’un fils, l’alzheimer d’un père. A la manière de Festen, on lèverait notre verre pour dire l’innommable.
Existe-t-il une parole vraie, intime et universelle à la fois : une parole cathartique ?
Comment peut-on transformer poétiquement l’indicible ?