Pour cette nouvelle aventure, nous avons décidé d’appréhender la matière bois dans sa version la plus brute.
Nous avons envie d’amener une forêt et sa symbolique sur scène, et pour cela quoi de mieux qu’un arbre?
Nous envisageons différentes séquences qui nous lieront à lui à travers sa déconstruction. Chaque élément: branches, tronc, sciure deviendra le décors et le support de nos mouvements.
Sa décomposition ainsi que l’abri qu’il fournit à d’autres espèces procurent une seconde vie à l’arbre. Nous voulons aussi, de la même manière qu’il pourrait renaître en meuble ou en parquet, donner une seconde vie à notre hêtre.
3 êtres dont 1 avec un H.
« Les arbres meurent debout »
Nous voulons une acrobatie souple, fluide, construite et évolutive, qui danse entre statique et dynamique. Parfois ample et aérienne, parfois intime et minuscule.
Une acrobatie sincère qui s’inscrit dans un tout en tenant compte de l’autre et de l’objet.
Une danse personnelle pour une situation mouvementée.