Par le regard poétique que le chorégraphe Antoine Le Ménestrel pose sur les espaces qui nous entourent, il change notre regard sur la cité. Les danseurs-traceurs, tels des « enfants sauvages », s’affranchissent des déplacements codifiés. « Tracer » c’est être créatif, s’adapter à l’architecture urbaine, prendre appui sur la fraternité, faire obstacle au vide qui se creuse, laisser dans l’air, sur les murs, au sol, sur un visage, une trace ou quelques signes poétiques.
Lignes de vie
- Conditions minimales: Espace public
- Provence-Alpes-Côte d'Azur
- Année de création: 2016