Voila Frida ressuscitée "une fois de plus" lance Catrina, la grande faucheuse mexicaine. "Frida, peut-être mais laquelle ? L’icône chatoyante, la peintre naïve, la communiste militante ou amante de Trotski, la Colombe blessée en lutte pour sa survie et celle de toutes les Femmes..."
N'ayez crainte, cher Public, la Kahlo, vous l'aurez toute en verbe et en image. Une Frida multiple, faisant de son corps le caléidoscope de la souffrance humaine et l’égérie de la culture indienne.
Deux "Raconteurs" se feront les chantres de cette femme unique, autour d'un "Théâtre à Manivelle", en clin d’œil à la "chambre photographique" de son père. Boîte à images où se déroulent des peintures inédites illustrant l'époque, le Mexique du début du XXe siècle, ses cabarets satyriques, les Héros de la révolution, les racines aztèques, les amours tempétueuses et... l'invisible, les rêves de Frida jusqu'au dernier et cette fois, Catrina aura le dernier mot...