« Il y a des jours où nous n’aurions pas dû revenir à la maison, mais nous sommes toujours là ».
Le texte écrit par François Rascalou relate les visites de la mort au cours d’une vie. Il prend la forme d’un conte, déformé comme dans un rêve, peuplé de bêtes et de sursauts. Les bêtes sont le fruit des rêves de l’auteur et incarnent l’effroi et le questionnement que ces confrontations avec la mort ont imposé, année après année. Les terreurs des nuits d’enfants, les défis mortifères de l’adolescence, les insouciances maladroites, les accidents, la maladie, le deuil, la perte…