Le premier Nomad clown avait été créé au Festival des arts de la rue, Viva cité en 2001, un clown nomade avec sa carriole arpente le bois de la garenne, alors que les murs des théâtres étaient tombés... L’artiste abandonné redevenait nomade et solitaire.
Le second volet, dix ans après, juin 2011, le clown revient. Il faut toujours travailler plus mais les temps ont changé, Nomad clown 2 : So geek ! Le clown cette fois-ci doit faire face au monde contemporain, à la technologie et au travail sur ordinateur. Dure réalité ! Le personnage est inapte, inadapté au monde de la finance et préfère fuir... Implosion du système.
Aujourd’hui, en 2020, que reste-t-il de cette vie ? De ces expériences, de ces voyages, dans ce monde si mouvant ?, Vers quoi, vers où allons-nous ?... Faut-il toujours devoir partir pour se construire ou se réinventer ? Nomad clown 3 : Restes... C’est comprendre un peu d’où l’on vient et l’envie de s’accrocher à ses souvenirs, vouloir changer le monde de sa place, et tenter de vivre avec tout ce qu’il nous reste de drôleries et de futilité en combattant nos propres existences ?
NM