Voilà ce qu’il reste…
Un jardin qui se dessine au milieu d’une scénographie de sculptures de ferrailles ardentes.
Les essences, les massifs, le kiosque à musique… il s’agit là d’un endroit paisible, propice à la contemplation et à la réflexion.
Ici, le végétal n’est plus.
Le fer, le feu et la rouille l’ont remplacé.
Ils inondent notre regard et nous interrogent sur notre écosystème.
Ces chimères organiques sont nées de déchets industriels. Tôles, bidons, aciers… les matières premières de ces sculptures sont issues de nos déchetteries, de notre industrie, comme un second souffle au service de la poésie.