A dos d’humour décalé, embarquez vers un invraisemblable voyage aux confins de la poésie pure. « Vous en repartirez la prunelle en arco-iris, les yeux en papillotes, remplis de petits astéroïdes d'émotion ! »
La vision de Gino Rayazone lève le rideau sur l'envers du cirque. Il en ressort une dérision et un humour féroce, qui révèlent en réalité une grande tendresse pour les cogne-trottoirs et autres saltimbanques.
Un univers où le grotesque le dispute à l'immoral, où les trapézistes s’exercent sur un porte-manteau, où l’on se demande ingénument « dans quel bac met-on les clowns usagés ? » pendant que le cheval nain boucle son tour de piste.
Les caravanes de ce convoi imaginaire, composées par Gino à partir d’objets de récupération, font partie intégrante de la scénographie.