d'après l’œuvre d'Enzo Cormann
« Je m’appelle » retrace la lancinante cohorte des victimes d’un siècle de guerre économique mondiale. Une série d’histoires singulières portées par un auto-entrepreneur de la rue.
« Quels abîmes de silence les tonitruantes parades de cette fin de XXème siècle, travestissement « kitch » de l’Histoire, s’acharnent-elle à emmurer ? »