Les Chasseurs de Vide rêvent d’une danse qui parle à TOUS, qui serait appréhendable par tous, au delà des codes et conventions, parce qu’elle s’exprime depuis des corps perceptifs vers d’autres corps perceptifs.
Ils rêvent d’un mouvement (au sens large) qui permettrait à tous les corps de se sentir légitimes à danser (gros, maigres, vieux, blancs, noirs, porteurs d’un handicap, …), à exister dans leur volume, dans leur maladresse, dans leur fragilité et dans leur fantaisie !
Ils rêvent d’une danse qui donne une place à ceux qui sont invisibilisés dans la société et notamment dans l’espace public (migrants, femmes, marginaux,…).
Ils rêve d’une danse qui participerait à notre reconnaissance mutuelle en tant qu’être humain.
Pour donner corps et chair à ce rêve, Célia Tali (danseuse et chorégraphe), Josépha Fockeu (danseuse et chorégraphe), Johanna Dupuy (comédienne et danseuse) et Marielle Rossignol (photographe) façonnent des projets en espace public, à partir d’un terreau de valeurs partagées et des moteurs communs.