Qu’est-ce que l’on sait de l’intimité de ceux qui n’intéressent personne ? Est-ce qu’on a le droit de faire partie d’une histoire quand on fait partie de l’immense partie de la population qui n’a rien de remarquable ?
Et si la vie de chacun peut s’entendre comme une histoire, et si le pas que nous faisons nous indique la direction du pas suivant, et si l’essentiel réside dans notre parcours, quelle place reste-t-il pour nos choix ?
Que décidons-nous vraiment ?
Michel, deux fois. L’intime exposé au vent.