Ce n'est pas parce que l'on parle de plante verte, que l'on parle de biodiversité. Ce n'est pas parce que l'on parle de choses tristes qu'il faut montrer des choses moches. Ou tristes.
C'est un conte, qui se passe évidemment dans une forêt, avec évidemment une conteuse, qui aurait voulu être mystérieuse et magnétique (comme Fanny Ardant).
Elle sait qu'incarner un personnage, c'est comme enfiler une moufle : l'important c'est de ne pas se tromper de sens.
Théâtreuse illuminée aux élans déjantés, cette conteuse malhabile voudrait raconter l’histoire de ce « petit garçon » qui parvient à sortir de sa maison, avec une folie généreuse et sans complexe. Clowneries et fête foraine, ajoutez quelques personnages inquiétants, voici une épopée initiatique.