“ Cette nouvelle pièce part d’un besoin de revenir à une certaine simplicité, un dépouillement. Je souhaite porter un nouveau regard sur l’écriture chorégraphique du mât sur scène, me rapprocher de celui qui regarde dans un rapport intime, une forme de partenariat. Il s’agit d’une expérience contemplative, sensorielle, abstraite, qui cherche, à travers des métaphores corporelles, à déclencher chez le spectateur des émotions primitives qui font sens. Nonada est un dialogue entre moi et le mât chinois, une confrontation amicale dans une multitude de rapports entre mât et humain, qui prend le spectateur pour témoin.”
R. de Paula